La leucorrhée appelée également perte blanche s'agit d'une affection gynécologique. Il concerne autrement dit d'une pathologie qui touche la majorité de femmes et même les jeunes filles. Seulement, la leucorrhée atteinte par chaque sujette ne peut pas être la même, car en réalité ce genre de maladie se divise en deux catégories. Elle peut être d'origine physiologique ou aussi pathologique. En cas de type physiologique, la pathologie n'est pas grave puisqu'elle provienne de ce qu'on appelle l'exfoliation vaginale. En revanche, si elle est pathologique, elle doit être traitée rapidement, car il s'agit dans ce cas-là d'une affection microbienne.
Les causes de la leucorrhée
Étant donné que la leucorrhée physiologique ne provoque pas de risques dangereux, elle ne dispose en effet des origines. Ce qui n'est pas du tout le cas de celle pathologique. Cette dernière sorte de maladie présente de nombreuses causes. À noter alors qu'elle est à l'origine :
- des infections bactériennes
- des champignons mycosiques
- des tumeurs bénignes vaginales
- des lésions de l'utérus
Elle est également d'origine d'une allergie aux autres produits cosmétiques intimes. Le stress ainsi qu'un objet comme un tampon hygiénique constituent aussi les causes de cette maladie.
Les signes de la maladie
Puisque la leucorrhée physiologique est une affection sans danger. Il s'agit dans ce cas d'un phénomène normal et ne dispose pas par la suite des symptômes. Par contre, celle d'origine pathologique présente divers symptômes. Ainsi, elle se définit par :
- Une perte mousseuse et glaireuse de couleur jaune, vert, blanche ou sale
- Une envie fréquente d'uriner
- Une fièvre
- Une douleur sur le bas du ventre
Ce type de perte blanche peut être encore à cause de la chlamydia. Celle-ci est caractérisée par un pus de couleur jaune verdâtre. Tandis que si elle est définie par le trichomonas vaginalis, elle par conséquent très abondante et pourvue d'une odeur nauséabonde et colorée en vert munie d'une vulve rougeâtre. Si c'est vraiment, il est indispensable de voir tout de suite un médecin traitant pour soigner ce genre de maladie. En cas de non-traitement, il est possible que la patiente ait par exemple un cancer de l'utérus. Ce qui entrainera encore une incapacité d'avoir un enfant. Le mieux, c'est de voir un spécialiste dans ce domaine tel qu'un gynécologue pour que votre corps soit en bonne santé.
Les différents types de traitement de la maladie
Avec l'homéopathie, il est envisageable de guérir ce type de pathologie. Il existe en ce moment de multiples produits homéopathiques pour l'éviter. Il faut seulement notifier que le remède homéopathique utilisé dépend de la couleur de la perte blanche. Si elle est transparente comme l'eau, l'homéopathie vous suggère de prendre le Leusinum 9 CH. La perte blanche constituée par un blanc d'oeuf est soignée par le Borax 5 CH. En cas de couleur crème ou jaune, il vaut mieux utiliser le Pulsatilla 5 CH.
Pour une pathologie présentée par une couleur jaune et sous forme visqueuse, l'homéopathie vous propose les deux issus suivants : le Luesinum 5 CH et l'Aletris farinos 5 CH. Si les pertes blanches donnent une coloration verte, il est préférable d'opter le Mercurius solubilis 5 CH. Par contre avec une teinte marron ou pourvue de sang, ce sera mieux que vous utilisiez le Nitricum acidum 7 CH.
Selon les avis obtenus par l'homéopathie, l'issu utilisé est lié non seulement par la coloration, mais également par le degré d'irritation. C'est la raison pour laquelle la sujette doit prendre le Sépia 5 CH en cas d'une perte trop irritante et acide. Au cas où les pertes blanches sont brûlantes, il est utile d'utiliser le Kreosotum 5 CH. Si ce n'est pas le cas, utilisez plutôt le Pulsatilla 7 CH.
Pour les femmes atteintes d'une perte blanche chronique suivie d'une infection urinaire fréquente, il est important de disposer et d'administrer ensuite 5 granules de Thuya 7 CH quotidiennement. Vous pouvez également choisir le Thuya 15 CH avec une dose par semaine. En ce qui concerne le traitement local d'attaque, il faut appliquer tout simplement une pommade Homéoplasmine.
La maladie face à la consultation médicale
Comme toute autre traitement, il est important de consulter avant tout un médecin traitant avant de décider ce que vous voulez faire et utiliser. Cette décision est obligatoire surtout si la personne présente des signes dangereuses comme celles qui sont citées précédemment.